COVID-19
La Chaîne de l’Espoir
continue de se mobiliser
En raison de la crise sanitaire actuelle, certains enfants malades ne peuvent pas être opérés : notre liste d’attente s’allonge. Plus que jamais, nous avons besoin de votre soutien pour mener nos actions. #oncontinuedagir !
Sans la pandémie de COVID-19, le cas d’Issa serait réglé. Ce petit garçon, d’à
peine plus de 2 ans, habitant dans les faubourgs de Ouagadougou, au Burkina
Faso, serait en bonne santé. Tous les jours, il pourrait se rendre à l’école. Il pourrait jouer au football avec ses
camarades sans être essoufflé. Il pourrait profiter de la vie.
Sans la crise sanitaire, Issa aurait été opéré de la malformation cardiaque qui
le fait souffrir depuis sa naissance et aujourd’hui il aurait la vie devant lui.
Malheureusement, à cause de la COVID-19, les soins cardiaques apportés aux
enfants ont été suspendus à l’hôpital Tengandogo de Ouagadougou. Et
aujourd’hui, beaucoup d’enfants attendent d’être opérés.
C’est le cas d’Issa, dont la vie est en danger alors qu’une opération est
possible.
Malade dès sa naissance
Issa a connu des débuts difficiles.
Né avec une forte fièvre, Issa était très fragile. À l’âge de 5 mois seulement,
il a subi de nouvelles hausses de température et une perte de poids importante.
À l’hôpital de Tengandogo, l’oscilloscope a révélé que le garçonnet souffrait
d’une persistance du canal artériel. Le canal artériel est indispensable à la
vie du fœtus qui baigne dans le liquide amniotique.
Normalement, à la naissance, ce canal devient inutile et se ferme. Mais dans le
cas d’Issa, ce canal est resté ouvert. Autrefois, cette anomalie congénitale
cardiaque était source de graves désordres et provoquait toujours des
complications fatales. Certains bébés mouraient immédiatement, d’autres
vivotaient quelques années et finissaient par succomber, à bout de souffle.
Un espoir déçu
Aujourd’hui, la persistance du canal artériel s’opère au Burkina Faso. En effet,
au fil des années, nous avons constitué au CHU Tengandogo une équipe
chirurgicale de haut niveau sous la houlette du Dr Adama Sawadogo, lui-même
formé par notre Chaîne. Cette expertise et cet engagement constituaient la plus belle
chance d’Issa de recouvrer la santé. Malheureusement, l’expansion de la COVID-19 a
bouleversé les services de santé…
et l’avenir d’Issa.
Un coût inimaginable
Aujourd’hui, le petit garçon doit être opéré d’urgence. Malheureusement ses
parents sont démunis. Son père est ouvrier sur les chantiers de construction et
gagne à peine de quoi nourrir son foyer. Alors, imaginez, une opération à 3000 €,
soit 1 968 000 francs CFA, c’est impossible ! Cette somme est inimaginable pour
les parents d’Issa.
C’est pourtant que ce que nous devons réunir pour sauver leur enfant.
« Les parents d’Issa sont vraiment démunis, le simple déplacement en ville a
eu raison de leurs économies et ils ne peuvent pas payer l’opération dont
l’enfant à tant besoin. »
Dr Adama Sawadogo, seul chirurgien cardiaque à exercer au Burkina Faso.
Formons une Chaîne… 30 euros pourraient être le montant versé par chaque
maillon… et cette générosité attentive répétée 100 fois offrira la vie à ce
petit garçon du Burkina Faso.
Soyez le premier maillon de cette Chaîne de solidarité, faites un don et sauvez
Issa !
Le plafond des dons déductibles de l’impôt sur le revenu augmente
En 2020, vous pouvez déduire jusqu’à 1 000 € de dons à hauteur de 75%
En 2020, vous pouvez déduire jusqu’à 1 000 € de dons à hauteur de 75%