COVID-19
La Chaîne de l’Espoir
continue de se mobiliser
En raison de la crise sanitaire actuelle, certains enfants malades ne peuvent pas être opérés : notre liste d’attente s’allonge. Plus que jamais, nous avons besoin de votre soutien pour mener nos actions. #oncontinuedagir !
Une vie bouleversée en un instant
En août dernier, 2 terribles explosions détruisaient le port de Beyrouth,
faisant plus de 200 morts, des milliers de blessés et sans-abris.
Parmi les familles bouleversées par ce drame, il y a Kami, 2 ans, qui vivait
avec ses parents et ses 2 sœurs dans une modeste maison près du port.
Ce 4 août à 18 heures, toute la famille était réunie et le souffle de la seconde
explosion a ravagé le logis : le toit s’est envolé, les vitres ont explosé.
De toute urgence à l'hôpital
Toute la famille a été blessée.
Le père a perdu un œil, la mère et les trois enfants ont eu le corps labouré de
morceaux de verre… Les sauveteurs ont rapidement conduit toute la famille à
l’Hôpital Hôtel-Dieu de France, situé à Beyrouth, l’hôpital où nous soutenons nos amis
et confrères libanais malades ; nous leurs avions notamment envoyé du matériel
indispensable à la prise en charge des blessés quelques jours après les
explosions.
Une terrible découverte
En soignant Kami de ses multiples coupures, l’interne a détecté chez son jeune
patient une respiration trop profonde, trop saccadée. Il a alors poussé ses
investigations, effectué quelques tests, alerté ses collègues cardiologues… Le
diagnostic tombe :
Kami souffre d’une sténose aortique, une malformation cardiaque de naissance.
La valve aortique, placée entre le ventricule gauche et l’aorte, régule les
voies de sortie du sang. Chez Kami, une membrane placée sous la valve aortique
empêche la bonne éjection du sang dans la circulation.
Jusqu’à cet instant, personne n’avait diagnostiqué cette grave malformation du
cœur : Kami ne présentait pas de symptôme apparent et ne s’était plaint d’aucune
douleur auprès de ses parents.
Or le pire est à craindre.
En effet, ces atteintes cardiaques ne se font pas remarquer, et soudain, au
moindre effort, c’est la mort subite, brutale, incompréhensible.
Malheureusement, les parents de Kami, qui vivent très modestement, ont besoin
d’aide pour financer l’opération qui sauvera la vie de leur fils.
Ils doivent en effet, réunir 4 000 € pour compléter la part prise en charge
par l’Etat libanais.
Une famille sans toit ni ressources.
Suite aux explosions et en raison de sa blessure au visage, le papa de Kami a perdu son travail de livreur. Sa santé ne lui permet pas de toute façon de reprendre le travail pour le moment. La famille a été relogée temporairement dans un hôtel de fortune ; mais les conditions de vie sont extrêmement précaires et chaque jour, s’ajoute la terrible angoisse de perdre leur enfant.
Sur place, les équipes médicales sont mobilisées. Après l’explosion la famille de Kami a malgré tout retrouvé espoir : leur petit garçon peut être opéré à cœur ouvert à l’hôpital de l’Hôtel-Dieu de Beyrouth.
Le Pr Jébara, chirurgien cardiaque très expérimenté formé à Paris peut envisager l’opération avec son équipe.
Chaque don est un maillon de la grande chaîne de solidarité.
Encouragez vos proches à rejoindre cette chaîne. Grâce à vos dons, l’opération de Kami pourra être programmée rapidement et le petit garçon pourra être sauvé.
Merci du fond du cœur de rendre l’espoir à sa famille et de lui offrir un avenir !
Le plafond des dons déductibles de l’impôt sur le revenu augmente
En 2020, vous pouvez déduire jusqu’à 1 000 € de dons à hauteur de 75%
En 2020, vous pouvez déduire jusqu’à 1 000 € de dons à hauteur de 75%